L’Initiation De Béatrice (Épisode N°01) Une Brune Qui Ne Compte Pas Pour Des Prunes

L’initiation de Béatrice (épisode n°01)

UNE BRUNE QUI NE COMPTE PAS POUR DES PRUNES


Dans le récit « La Présidente », j’ai évoqué la jeune Béatrice M. que je voulais faire initier aux rapports saphiques par la belle Cécile de Launay. En effet, je rappelle qu’à dix-huit ans, ayant soif d’aventure, je m’engage pour quatre ans dans l’infanterie coloniale. De 1950 à 1954 je sert en Indochine et mesure physiquement et moralement la différence entre la vie douillette chez mes parents et la vraie vie, avec de surcroît les horreurs d’une sale guerre. À cette époque, bien qu’un peu « macho », comme beaucoup de jeunes gens des années cinquante, j’avais encore toutes mes illusions et une certaine candeur, je revenais certes aguerri, mais un peu amer, faisant preuve d’un certain cynisme, surtout envers la gent féminine qui ne m’avait pas épargnée. Bien sûr j’avais connu les amours plus ou moins tarifiés des indochinoises, alors que la « fiancée » laissée en France, avait profité de mon absence pour filer le parfait amour avec un bel hidalgo. Au retour une amie proche était venue me consoler, mais lorsque j’avais voulu officialiser, elle s’était récusée ayant certainement peur de s’engager. N’étant ni trop beau, ni trop moche, mais auréolé de l’exotisme du baroudeur, je n’avais aucun mal à me faire des conquêtes à la petite semaine. Je prenais et jetais aussi vite les minettes qui tombaient entre mes griffes. Ce n’était pas très moral, mais à vingt-deux ans, après ce que j’avais vécu à l’armée et les désillusions amoureuses qui m’avaient marqué, je n’avais aucun scrupule. Aussi, durant quelques mois, j’ai bien dû culbuter une vingtaine de filles ou même un peu plus, des belles et des moins belles ; je n’ai jamais su pourquoi, toutes ces filles tombaient comme des mouches. Il faut croire que revenant d’Indochine, je devais sentir bon le sable chaud et surtout «l’Aventure ».

Avant mon départ en Extrême-Orient, j’avais de multiples activités, sportives et culturelles dans la bonne ville royale de X.

dont j’étais originaire. En sus, je faisais partie des secouristes de la Croix-Rouge locale et participais à toutes leurs activités, fréquentant honorablement ces « bonne dames » de la société bourgeoise locale. Bien entendu, de retour dans ma ville je reprends ma place dans cette communauté. Pour une meilleure compréhension des lecteurs, c’est au présent que je vais poursuivre ce récit.

Durant l’été, la ville de X offre de grandes fêtes en plein air où un public nombreux s’y presse. La Croix-Rouge y participe activement, installant des postes de secours sous tente à différents endroits. Sachant que le passage du public dans ces postes y est fréquent. Petits bobos, malaises, évanouissements, c’est l’occasion rêvée pour y rencontrer des jeunes filles ou des jeunes femmes et pourquoi pas de les draguer. Mais en ces jours de juin 1955, c’est une accorte secouriste de dix-huit printemps qui attira mon regard. Béatrice M. est une belle brune au teint mat avec des yeux verts magnifiques. Si elle n’est pas très grande, un mètre soixante-cinq environ, à première vue elle possède une belle poitrine, en tout cas elle paraît assez imposante ; des jambes un peu fortes mais bien galbées et une magnifique chevelure noire abondante, qui lui descend jusqu’aux reins. Nous passons toute la soirée à bavarder tout en soignant de temps en temps des s qui se sont écorché les genoux ou les bras en tombant sur des graviers, ou en réconfortant des personnes âgées qui ne supportent pas la chaleur et la fatigue de la foule trop nombreuse. Je vois bien que je ne suis pas indifférent à la belle Béatrice, bien que celle-ci se montre un peu farouche lorsque je me montre un peu trop entreprenant. Je comprends assez vite que c’est une oie blanche et que je vais sans doute avoir du mal à coucher avec elle.

Les filles faciles ne manquent pas et je perds rarement mon temps à courtiser une pimbêche, qui ne fera que m’allumer sans me donner un seul espoir de la sauter. Pourtant Béatrice m’intéresse, elle me paraît sincère dans sa candeur de jeune fille sage et j’avoue que cela m’excite au plus au point.
Savoir que je risque de lui faire découvrir une sexualité qu’elle ne soupçonne peut-être pas est assez troublant ; car si je ne suis pas un super étalon et que mon sexe ne dépasse pas la moyenne honnête, je me targue d’être très attentif au plaisir des femmes, faisant passer le leur, bien avant mon propre plaisir, me servant de mes doigts, de mes lèvres et de ma langue pour exciter leur sens à leur faire perdre la raison. Malgré toutes les réserves qu’elle exprime, à la fin des festivités, Béatrice accepte de m’accompagner à Paris, où je lui propose de l’emmener sur le scooter que je possède. À cette époque, dix ans après la fin de la guerre, les automobiles sont encore chères et rares. Les jeunes se déplacent pour la plupart sur des Vespa 125cc ou autres scooter, importés d’Italie.

Je suis heureux d’emmener ma belle sur le siège passager de mon Lambretta 125cc, alors quelle entoure ma taille de ses jolis bras dénudés ; elle porte, j’ai oublié de le préciser, une robe légère en cotonnade fleurie, avec un décolleté au carré qui laisse apercevoir la naissance de ses seins dont le renflement me semble bien prometteur. Après avoir traversé le bois de Boulogne, fait le tour de l’Arc de Triomphe, descendu les Champs Elysées et tourné autour de la place de la Concorde, je reprends la direction de nos domiciles en traversant à nouveau le bois de Boulogne. À la hauteur de la grande cascade, je propose à Béatrice de faire une pause pour éviter que mon moteur ne chauffe trop. Elle ne voit pas le danger de se trouver seule avec un garçon en pleine nuit, à deux heures du matin, dans un bois où tout peut arriver. Elle ne songe pas apparemment qu’elle pourrait être violée par l’homme qu’elle ne connaît que depuis quelques heures. À cette époque, il faut préciser que le bois de Boulogne n’avait pas la réputation qu’il a actuellement et qu’à part quelques véhicules de partouzards qui se cherchaient dans les grandes artères, il n’y avait aucun danger à s’allonger sur une pelouse à l’abri de quelques arbres.


Béatrice s’asseyant bien sagement à côté de moi, c’est tout naturellement que j’entoure son épaule de mon bras et que je l’embrasse délicatement. Ses lèvres s’ouvrent sous ma langue qui cherche la sienne. Notre baiser s’éternise alors que je sens son cœur battre contre ma poitrine. Je sens que cette fille a une sensualité exacerbée et que sous sa réserve pudique et effarouchée, elle possède un tempérament de feu. Je sens combien il faut que je me retienne si je ne veux pas tout gâcher. Pourtant je l’allonge doucement sur le tapis d’herbe et, tout en l’embrassant langoureusement, je pars à l’assaut de son corsage, malaxant ses seins à travers le tissu de sa robe et de son soutien-gorge. Elle gémit sous la caresse hardie, mais me laisse faire, mélangeant sa langue à la mienne avec une fouge étonnante. Lorsque ma main se pose sur une de ses jambes, elle a un tressaillement, mais ne dit rien. Par contre, lorsque soulevant sa jupe, je glisse ma main entre ses cuisses, elle essaie d’une main de me la retirer avec force. Je poursuis tout de même mon exploration et j’atteins le rempart de sa culotte. C’est alors qu’elle éclate en sanglots. Réagissant rapidement, je prends son visage entre mes deux mains et il me faut toute la tendresse possible pour la consoler. Je pense que je suis allé trop loin aussi je lui propose de reprendre la route. Elle accepte et reste silencieuse durant tout le trajet. Devant chez elle, je l’embrasse pour lui dire au revoir, pensant justement ne plus jamais la revoir. Cela m’est déjà arrivé avec de trop jeunes filles, qui se sont laissé aller dans mes bras et qui ont pris peur lorsque mes attouchements leurs ont fait comprendre ce qu’elles risquaient. Pourtant Béatrice ne veut apparemment pas en rester là. Elle me demande si je ne suis pas fâché et m’explique très gênée qu’elle a ses règles. Je ne sais que croire, j’ai bien senti sous mes doigts, un renflement de tissu paraissant trop important pour une simple culotte. C’est encore l’époque des serviettes hygiéniques et ce n’est certainement pas agréable pour une jeune fille de laisser découvrir ce tissu « honteux » par un garçon dont elle vient de faire la connaissance.
Je me dis que tout n’est pas perdu et que je pourrais sans doute mettre cette petite fille sage à mon tableau de chasse. J’ai pourtant une appréhension, pensant qu’elle s’est garnie pour éviter justement d’être entreprise dans son intimité, mais comment aurait-elle su qu’elle sortirait avec moi ce soir ?

Deux soirs de suite, je l’emmène dans les bois qui entourent notre ville, deux soirs de suite, elle refuse que ma main s’aventure au-delà du haut de ses cuisses. Pourtant elle m’embrasse profondément et mes mains peuvent détailler son corps tout à loisir ; ses seins particulièrement me font un effet incroyable. Ils sont assez proéminents avec des mamelons larges de couleur brune et des tétons d’au moins deux centimètres, raides et pointus. Je les dévore sans vergogne et malaxe la chair jusqu’à lui faire mal. Elle gémit, mais m’embrasse avec encore plus de fougue. J’avoue malgré tout que je suis un peu las de ne pouvoir accéder à son entrejambe, me demandant toujours si elle ne me joue pas la comédie. Je laisse passer deux jours sans la voir, prétextant des obligations familiales, puis je décide de l’emmener de nouveau dans les bois, ne pouvant disposer pour l’instant d’un endroit bien à moi. Cette fois, j’espère aller plus loin et en effet, lorsque ma main trousse sa jupe, elle n’essaie pas de m’empêcher d’aller plus haut que d’habitude. Mes doigts se glissent sous sa culotte et atteignent une fourrure abondante. Béatrice est très brune avec de longs cheveux frisés et je ne suis pas étonné de la savoir si fournie. Après avoir caressé son ventre et son mont de vénus, je mets quelque temps à trouver le chemin de sa fente. Je caresse ses grandes lèvres que je déplie et agite mes doigts aux bords de la faille qui frémit sous mes attouchements. Je sens aussitôt mes doigts s’humecter et je glisse un doigt vers le clitoris ce qui fait sursauter ma belle qui se serre encore plus contre moi. Il faut dire que je n’ai pas cessé de l’embrasser et que lorsqu’elle pousse de petits cris, je comprends qu’elle est en train de prendre son pied. Elle me sourit et me dit un timide merci. Pourtant je ne veux pas en rester là et je plonge ma tête sous sa jupe, cherchant avec mes lèvres à attendre sa jolie conque. Mon nez se plonge dans la forêt de poils avant que ma langue trouve la chair gonflée et humide de sa vulve. La tenant par les cuisses, je suce, lape, aspire la mouille, broute son minou, prend entre mes lèvres sa chair gonflée et tendre et la mange tout crû. Sa liqueur est suave et douce, à peine odorante, la liqueur d’une jeune vierge. Tout de même, je pense que si Béatrice se montre réticente à mes entreprises un peu trop hardies et rapides, elle n’est pas née de la dernière pluie. À mon avis, elle a déjà vu le loup, mais elle se fait prier pour mieux me tenir dans ses filets. Ma langue et mes lèvres ont continué cependant à la faire jouir, aussi lorsque je me redresse, elle est toute chamboulée et elle se jette dans mes bras, m’embrassant avec fougue. Après avoir échangé de longs baisers et certaines confidences, nous reprenons la route de son domicile et je lui dis que je voudrais bien parler à ses parents le lendemain. Elle me questionne sur ce que j’ai l’intention de leur dire, mais je reste muet, ne voulant en aucun cas lui mettre la puce à l’oreille.

A suivre…

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